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Groupe DCI de l’ADF
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Frédérique CADET
Conseiller du Secrétaire Général de l'ADF
Conseiller du groupe DCI

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 14:47




L'Assemblée des Départements de France a été auditionnée ce matin par le comité de Balladur. L'ensemble des membres de ce dernier était présent, à l'exception du constitutionnaliste, Michel VERPEAUX.

La délégation des Départements était composée du président de l'ADF, Claudy LEBRETON, du Secrétaire général, Bruno SIDO, et du 2nd Vice-Président, Eric  DOLIGE.

50 minutes ont été consacrées à cette audition.

Un rappel des grandes orientations du séminaire des 102 présidents ( qui avait fait l'objet d'une validation du bureau du mardi 7 janvier) a été réalisé  en  4 points : le département est le point d'articulation entre les territoires de vie et la cohésion nationale, la décentralisation est la reconnaissance de la capacité d'initiative de la légitimité démocratique des élus locaux, l'organisation territoriale repose sur deux tandems (système communal / département,  région / Etat), le département est une collectivité moderne et démocratique.

Les questions du comité ont porté sur le maintien de la clause générale de compétence et l'avis du département sur le maintien au sein des autres niveaux, la désignation des conseillers généraux à la réprésentation proportionnelle départementale, les limites pouvant être apportées pour contrebalancer le maintien de la clause générale de compétence (limiter à 20 % du budget les initiatives dans les domaines de compétences facultatives), la prise en compte des élus des intercommunalités  dans le cadre de la désignation des conseillers généraux urbains....
  

 



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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 16:54

Article du figaro en date du 9 décembre

 

Jeudi, Édouard Balladur sera à Lyon. À l'invitation de Jean-Jack Queyranne, le président PS de la Région Rhône-Alpes, l'ancien premier ministre rencontrera l'exécutif régional, dans le cadre de la réflexion que lui a confiée Nicolas Sarkozy sur l'avenir des collectivités territoriales. Il rencontrera également le président du conseil général du Rhône, le centriste Michel Mercier, et le maire de Lyon, le socialiste Gérard Collomb. Toute la complexité du «millefeuille territorial» en une seule journée.


Édouard Balladur écoute et consulte beaucoup. Jeudi, avec les dix autres membres de son comité, il déjeune avec Michèle Alliot-Marie au ministère de l'Intérieur. La semaine prochaine, il recevra
la nouvelle première secrétaire du PS, Martine Aubry, avec l'espoir que contrairement à ce qu'ils avaient fait sur la révision constitutionnelle, les socialistes cherchent à participer à l'élaboration de la réforme plutôt qu'à camper sur une posture d'opposition de principe. Avec la présence, dans son comité de l'ancien premier ministre Pierre Mauroy, un homme «tolérant et sympathique», et du député André Vallini, qu'il apprécie aussi, Édouard Balladur se veut confiant.


Mais l'ancien premier ministre se veut aussi lucide. Du premier comité qu'il avait présidé, sur la réforme des institutions, il a retenu que la recherche du consensus pouvait conduire à un excès de prudence. Partisan du régime présidentiel, il avait renoncé à l'inscrire dans ses conclusions car trois autres membres seulement sur treize y étaient favorables.

Cette fois, Édouard Balladur entend bien aller «jusqu'au bout de ses idées», comme il le confie. Jusqu'au bout de ses idées, c'est repenser l'organisation territoriale autour d'un «nouveau couple» composé des Régions et des structures intercommunales. Sans pour autant supprimer ni les départements ni les communes. C'est sur ce nouveau couple, qu'il veut faire des propositions.

 

Suffrage universel pour les regroupements de communes

 

Les Régions ? Il faut en réduire le nombre, pense-t-il. Dans ses conclusions, il se gardera bien de citer celles qu'il faut regrouper, contrairement à Nicolas Sarkozy, qui a anticipé une fusion des deux Normandies.

Quant aux structures intercommunales, il devrait se prononcer pour leur élection au suffrage universel, contrairement, là encore, à Nicolas Sarkozy, qui,
pour rassurer les maires, s'y est dit opposé pour ne pas créer un «conflit de légitimité». Pour plus de lisibilité, le comité Balladur devrait proposer de doubler le nombre de communautés urbaines, aujourd'hui au nombre de 14.

S'il ne veut pas anticiper sur les conclusions du comité, qu'il devrait remettre fin février à Nicolas Sarkozy, l'ancien premier ministre se montre encore partisan d'une «prohibition» du cumul des mandats, source à ses yeux de blocage des réformes territoriales. En 1999, Lionel Jospin, alors à Matignon, avait tenté d'imposer le mandat unique, mais s'était heurté à la résistance des parlementaires, sénateurs en tête. Une limitation du cumul avait déjà été inscrite dans le projet de révision constitutionnelle, mais n'avait pas été reprise dans le texte du gouvernement. Une deuxième fois sur le métier, Édouard Balladur remet son ouvrage.

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 15:15





Bruno SIDO, Secrétaire général de l’Assemblée des Départements de France, et l’ensemble des 44 présidents de conseils généraux de la droite, du centre et des indépendants sont
heureux d’accueillir les députés Eric CIOTTI et Jean-Claude BEAULIEU qui ont été élus conseillers généraux respectivement de Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes) et de Jonzac (Charente-Maritime).

 

Jean-Claude BEAULIEU succède à Claude BELOT, Sénateur-Maire de Jonzac qui était atteint par le cumul des mandats. Le nouveau conseiller général avait obtenu plus de 57 % au 1er tour mais la faible participation avait conduit à un second tour. Pour rappel, le nouveau conseiller général était devenu député à la suite de l’entrée au gouvernement de Dominique BUSSEREAU, Président du conseil général de Charente-Maritime, dont il était le suppléant.

 

Eric CIOTTI a lui été élu à plus de 78 %. Proche de M. Christian Estrosi, il fait son entrée au conseil général des Alpes-Maritimes en qualité de conseiller général, après avoir notamment assuré les fonctions de directeur de cabinet.

 

Bruno SIDO et l’ensemble de ses collègues du groupe DCI forment pour les deux nouveaux conseillers généraux des vœux de succès et de réussite dans leurs nouvelles fonctions. Ils se réjouissent de compter deux nouveaux députés au sein du groupe.

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 14:40



(Source Sud-Ouest et AFP)


Le président du Conseil général de Charente-Maritime, Dominique Bussereau (UMP), et le sénateur de la Vienne Jean-Pierre Raffarin (UMP), ancien président de la région poitou-Charente proposent de fusionner Aquitaine et Poitou-Charentes dans une lettre adressée au chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, transmise vendredi à l'AFP.

Dans cette lettre transmise par le Conseil général de Charente-Maritime, ils estiment que "l'échelon régional ne (leur) paraît adapté à l'initiative économique que s'il a la taille critique nécessaire".

"Le potentiel de nos territoires locaux est exceptionnel et nous souhaitons le démontrer en vous proposant à titre d'expérimentation la fusion des régions Aquitaine et Poitou-Charentes", jugent-ils.

La région Poitou-Charentes est présidée par Ségolène Royal (PS) et la région Aquitaine par Alain Rousset (PS).

Selon les signataires de la lettre, "la création d'une grande entité du sud-ouest reposerait d'abord sur la complémentarité des territoires qui la constituent, depuis l'Espagne jusqu'au nord de la Vienne, positionnée au coeur de l'axe nord-sud, en passant par Bordeaux, grande métropole d'équilibre".

Le secrétaire d'Etat aux Transports, M. Bussereau, et M. Raffarin, ancien président du Conseil régional de Poitou-Charentes, estiment que
les activités économiques des deux régions fusionnées "seraient appelées à constituer une véritable force de frappe".

Une telle configuration affirmerait en outre "sa vocation d'ouverture" par la mer avec les ports maritimes de Bordeaux et La Rochelle, par le rail constitutif de l'axe franco-espagnol renforcé par la future ligne LGV Sud Europe Atlantique et par l'aérien avec l'aéroport de Bordeaux, détaillent-ils.

Fin novembre, le président Sarkozy a souhaité une réflexion sur une nouvelle organisation du territoire, d'ici au "printemps  2009", proposant notamment la possibilité de fusionner certaines régions.

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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 00:00



Robert GROSSMANN, ancien président de la communauté urbaine de Strasbourg et de l'association des communnautés urbaines de France, a apporté son soutien au rapprochement des départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin pour créer une collectivité unique.




Bon connaisseur du conseil régional et du conseil général, Robert GROSSMANN a ajouté : "Chez nous, le conseil régional a une trés grande préoccupation de proximité et c'est parfois les départements qui font de l'aménagement du territoire au sens large"

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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 17:09

Alors que les parlementaires évoquaient la création des conseillers territoriaux élus au scrutin majoritaire, Patrick JARREAU du Monde évoque la possibilité d'appliquer la loi PLM au département.


Pourra-t-on se passer des élections cantonales ?, par Patrick Jarreau
LE MONDE | 05.12.08 | 13h45  •  Mis à jour le 05.12.08 | 13h45


 

l est difficile d'imaginer Edouard Balladur en conspirateur ourdissant un traquenard dans l'univers paisible des collectivités locales. C'est pourtant ce que redoutent certains des 503 000 conseillers régionaux, généraux ou municipaux qui forment l'infanterie de la République. L'ancien premier ministre a accepté en effet, à la demande de Nicolas Sarkozy, de préparer une réforme qui pourrait faire disparaître le département.

 

 

Du congrès de l'Association des maires de France à celui de l'Association des régions de France, réuni cette semaine, en attendant le séminaire des cent deux présidents de conseils généraux, dans quinze jours, la refonte de l'organisation territoriale est le grand sujet d'interrogation avec celle de la fiscalité locale, qui lui est liée.

Deux débats se chevauchent. Le premier porte sur les communes, au nombre de près de 37 000, et sur les structures intercommunales dont beaucoup d'entre elles font partie, sans que les responsables de ces communautés soient élus par les citoyens eux-mêmes. Le second débat est celui qui oppose sempiternellement la région et le département depuis le référendum sur la régionalisation, perdu par le général de Gaulle en 1969.

Voilà plus de deux siècles que les Français s'identifient par la commune et le département. L'ami Bidasse, "qu'était natif d'Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais", a disparu avec la conscription, en 1996. Son extrait de naissance va-t-il le suivre au musée des antiquités républicaines ? Il est déjà prévu que les nouvelles plaques d'immatriculation des véhicules à moteur ne comportent plus le numéro du département.

Mais l'évolution en cours ne porte pas seulement sur les symboles ou les repères. Ce sont les rapports entre les territoires qui seront changés si le département décline au profit de la région, et la commune au profit de l'agglomération. Les élus ne seront pas les seuls à se passionner pour une réforme qui a toute chance d'émouvoir beaucoup de leurs électeurs.

Le département ne pourrait être supprimé que par une révision de la Constitution. Après ce qui est arrivé à Jacques Chirac, en 2005, avec le traité constitutionnel européen, le président qui prendra le risque d'organiser un référendum sur un sujet de ce genre n'est pas encore né. Il faudrait donc passer par le Congrès, où il avait déjà été difficile d'obtenir l'accord des trois cinquièmes des parlementaires pour réviser la Constitution en juillet. La gauche ayant gagné des sièges, au Sénat, en septembre, il ne faut plus y compter.

Une loi suffit, en revanche, pour définir les compétences, l'organisation et le mode d'élection des collectivités locales. Il serait possible de réformer les régions et les communautés de communes en s'inspirant de la loi "PLM", qui régit le fonctionnement et l'élection des conseils municipaux et des conseils d'arrondissement ou de secteur à Paris, Lyon et Marseille. Les électeurs voteraient, dans chaque département, pour des listes de candidats dont les premiers seraient conseillers régionaux et généraux, les suivants n'étant que conseillers généraux. Le même système pourrait s'appliquer aux structures intercommunales, chaque commune élisant des conseillers d'agglomération et des conseillers municipaux.

Le département subsisterait donc, à la fois comme périmètre de services régionaux ou de services de l'Etat, et comme circonscription électorale. Ce qui s'effacerait totalement, c'est le canton, puisque les conseillers généraux seraient élus au scrutin de liste dans le cadre départemental. Un département sans cantons et sans élections cantonales ne serait plus qu'une subdivision administrative de la région

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 19:25






Un article de la gazette parue ce samedi 15 novembre sur la réforme territoriale intitulé « Quel scénario pour en finir avec le mille feuille » mérite une attention particulière.

 

Ce dernier revient sur l’ensemble des initiatives qui a été mis en place : Associations d’élus (AMF, ADF, ARF), Conférence nationale des Exécutifs, Commission des lois de l’Assemblée nationale (Mission WARSMANN), Commission BELOT du Sénat, les groupes de parlementaires majoritaires (coprésidés par Dominique PERBEN et Jean-Patrick COURTOIS), les groupes des élus socialistes. Il oublie la commission des finances de l’Assemblé nationale sur les relations financières (LAFFINEUR / BALLIGAND).

 

Il résume les pistes de réflexion à 4 scénarios :

 

·       Scénario 1 : la fusion des échelons

 

Les principaux partisans de cette formule sont : Edouard BALLADUR, Jean-François COPE, François BAYROU, François FILLON.

 

Cette initiative a pour effet collatéral que le mandat des conseillers régionaux est prorogé jusqu’en 2011, date du prochain renouvellement des conseillers généraux. Les présidents de conseils régionaux (ROUSSELET / ZELLER) craignent que la région devienne un syndicat interdépartemental.

 

Maurice LEROY (LOIR-ET-CHER) plaide pour une collectivité qui rassemble « la région et les départements » avec une partie des conseillers élus à la proportionnelle et les autres au scrutin majoritaire. Il est favorable à la mutualisation des entre les intercommunalités et la commune centre.

 

Hubert FALCO, Secrétaire d’Etat, (Maire de Toulon, ancien PCG du Var)  souhaite rassembler le conseil général et les intercommunalités mais aussi réduire le nombre de régions à 8 ou 12 dont la mission sera orientée vers la compétitivité et les grandes infrastructures, celle des départements, la cohésion territoriale et sociale.

 

Les nouveaux départements auraient des représentants des cantons pour le milieu rural et les présidents d’intercommunalité et des conseillers communautaires élus démocratiquement au suffrage universel direct dans le cadre du scrutin municipal.

 

·       Scénario 2 : Des redécoupages à la carte

Conformément au rapport WARSMANN, possibilités de fusions horizontales et verticales sur la base d’incitations financières (une fraction de la DGF créée spécialement au profit  des collectivités s’engageant dans une démarche de simplification territoriale).

 

Les partisans sont : Michel MERCIER, Philippe DALLIER, Hervé MORIN, Jo SPIEGEL, Guy Dominique KENNEL… (on pourrait rajouter Bruno SIDO)

Les précédentes tentatives de fusion ont connu des échecs : Corse, Guadeloupe, Martinique

Concernant la Normandie (fusion de la Haute et de la Basse Normandie), il n’y pas d’accord sur la capitale régionale. Le coût de la fusion est estimé selon un rapport entre 7 et 15 millions, mais entraine ensuite des gains entre 2.7 et 4 millions d’euros par an.

 

Seul le département du Rhône est intéressé par la formule (fusion  intercommunalité et conseil général) avec un rapprochement avec la communauté urbaine de Lyon.

 

·       Scénario 3 : La fin des financements croisés

 

Les partisans sont : Patrick BRAOUEZEC, Eric DOLIGE, Michel PIRON, Jean-Jacques URVOAS.

 

On reprend l’idée d’un pourcentage minimum comme dans le rapport du conseil économique et social de Pierre RICHARD (ancien patron de DEXIA) « l’obligation pour le maitre d’ouvrage initiateur d’en financer au moins 50 % ». Dans un rapport de 2002, le député Michel PIRON limitait le nombre de co-financeurs à deux. Cette idée a été reprise dans le rapport WARSMANN qui introduit une souplesse, avec une dérogation « au profit des communes dont la population est inférieure à un certain seuil et dont le potentiel fiscal est inférieur à la moyenne de la strate »

 

  • Scénario 4 : des vrais blocs de compétence

Les partisans sont : Jacques PELISSARD, Alain MARLEIX, Daniel DELAVEAU, Alain ROUSSET

 

  1. Suppression de la clause générale de compétence :

 Exemple de cet enchevêtrement, la compétence développement économique les aides régionales sont estimées à 2.04 milliards d’euros par an contre 2.09 pour les départements.

 

Jacques PELISSARD et Alain ROUSSET plaide pour une évolution de la clause générale de compétence. Les présidents de conseils généraux sont très opposés. Ils rappellent qule maintien de la clause permet l’aide aux petites communes rurales.

 

Alain LAMBERT souhaite tester la réforme  indiquant que les conseils généraux doivent continuer à mener certaines actions économiques, en particulier quand la région n’est pas très active. La suppression de la clause devra en tout état de cause permettre au département d’exercer certaines compétences facultatives.

 

  1. Il est évoqué une clarification contractuelle obligatoire des compétences entre la région et les départements (idée initiale d’Adrien ZELLER) avec soit

 

A.     Une collectivité renonce à intervenir dans un domaine commun

B.     Les collectivités s’entendent sur un chef de file qui fixe les modalités d’intervention de sa partenaire.

 

Les conventions sont conclues dans les six mois après le renouvellement d’une des deux assemblées. A défaut d’accord, le Préfet de région intervient.

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 17:28


Extrait de  la Gazette des communes en date du 17 novembre, le Président du conseil général du Bas-Rhin, guy-Dominique KENNEL évoque le projet alsacien.

"L'Alsace, petit territoire composé de deux départements avec une cohérence géographique forte, n'a pas une identité factice domme d'autres régions. Elle est le terrain parfait pour mener des évolutions institutionnelles. Nous souhaitons mon collègues du haut-Rhinet moi-même, parvenir à l'horizon 2010 à un guichet unique, c'est-à-dire à une seule collectivité regroupant les conseillers généraux et le conseil régional d'Alsace. Nous avons déjà, en ce sens commencé à mutualiser nos services de formation avec le Haut-Rhin. A Adrien ZELLER ( Président du conseil régional qui préfère "l'union à la fusion") je dis clairement que nous nous aggrippons pas au canton. vis-à-vis du citoyen , nous voulons aussi être nets. Les compétences et les charges resteront les même. Il n'y aura pas d'économie immédiate."

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 16:54

Dans la Gazette des communes de cette semaine, Maurice LEROY, le Député Nouveau-Centre et Président du conseil général du Loir-et-Cher, prend l'image d'une lasagne indigeste et couteuse pour évoquer la superposition des structures administratives.

Il plaide pour une fusion, dans un premier temps, des départements et des régions, puis dans un second temps, d'une  fusion des services des intercommunalités avec la commune centre, comme Strasbourg depuis la création de la communauté urbaine en 1966 .

La réforme "fusion" doit conduire à l'utilisation de deux modes de scrutin : la réprésentation proportionnelle à un tour à circonscription  régionale et un scrutin majoritiare uninominal à deux tours.

Il souligne la nécessité de conserver les subdivisions administratives territoriales... 

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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 18:16
Bruno SIDO et Philippe LEROY, présidents des conseils généraux de la Haute-Marne et de la Moselle, feront partie du groupe de travail ADF AMF ARF sur l'architecture institutionnelle.

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